L’épuisement de la ressource, la pollution des eaux de surface comme des eaux souterraines et une consommation manquant de rigueur, que ce soit pour un usage sanitaire ou d’alimentation, font de l’eau une denrée toujours plus rare. (OCDE : www.oecd.org).

Le rapport de l’OCDE, organisme des plus sérieux s’il en est, qualifie ce problème comme nécessitant « une préoccupation urgente ». En 2030, en l’absence de mesures efficaces (donc à prendre dès à présent) destinées à préserver les ressources, 4 milliards de personnes se trouveraient en pénurie d’eau dans les 4 grands pays émergents, que cela soit pour s’alimenter ou cultiver.

Or, outre la résignation à laquelle il nous faut faire face, la réduction de consommation entre autre, surtout dans les pays occidentaux (continent nord-américain inclus), un problème de plus en plus récurrent apparaît dans certains pays du tiers monde semble-t-il : la pollution des eaux.

Celle-ci, liée à l’accroissement des populations en bord de mer, lacs ou rivières est le résultat de l’absence de tout-à-l’égout ou de planification sanitaire propre à éviter dans l’eau la présence de détritus, incluant des métaux lourds, déchets ménagers et autres bactéries ou microbes.

Les marées noires ne relèvent pas des mêmes responsabilités en processus, mais elles sont malgré tout bien présentes années après années et sont une source de pollution dramatique des nappes phréatiques.

Et trop peu de Fondations ni d’organismes de gouvernance internationaux ne s’en préoccupent suffisamment.

(Source : fr.wikipedia.org/wiki/Environnement)

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